COVID-19 : comment désinfecter efficacement une voiture ?
Gestion de ma flotte
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La gestion des parcs automobiles serait-elle en phase de remise à plat ? La mobilité des collaborateurs représente souvent un budget conséquent pour les entreprises. Afin de rationaliser ces frais, songer à de nouveaux modes de mobilités alternatifs peut s’avérer très pertinent. Définition, avantages et mise en place : découvrez tout ce qu’il faut savoir sur l’autopartage de flotte automobile.
Avec la considération grandissante des enjeux environnementaux, l’autopartage de véhicules semble être une pratique qui a de beaux jours devant elle.
Selon l’article L.1231-14 du code des transports, ce phénomène se traduit précisément par : « la mise en commun d’un véhicule ou d’une flotte de véhicules de transport terrestre à moteur au profit d’utilisateurs abonnés ou habilités par l’organisme ou la personne gestionnaire des véhicules. Chaque abonné ou utilisateur habilité peut accéder à un véhicule sans conducteur pour le trajet de son choix et pour une durée limitée. »
En d’autres termes, le service d’autopartage, ou voitures en libre-service, représente un système dans lequel une entreprise publique ou privée, une association, une collectivité, ou même un groupe de particuliers fournissent à ses membres un ou plusieurs véhicules adaptés à leur besoin. Il se caractérise donc par de la mobilité partagée, de la même façon que les scooters en libre-service ou les trottinettes électriques.
Par ailleurs, la loi de transition énergétique a élargi le développement de l’autopartage. Depuis le 1er janvier 2018, les sociétés sont désormais dans l’obligation formelle de déployer des mobilités alternatives au véhicule individuel.
Au-delà de diminuer les émissions polluants, ce système de mobilité s’est largement développé afin d’améliorer les déplacements sur le réseau routier embouteillé des grandes villes.
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La pratique de l’autopartage en France offre une réduction de la dépendance automobile que l’on connaît aujourd’hui, au profit d’autres modes de mobilité plus respectueux de l’environnement. En ce sens, cette pratique permet de limiter la consommation d’énergie ainsi que les émissions de CO2. Elle dégage également de la place dans l’espace urbain utilisé initialement pour le stationnement des véhicules.
En alliant autopartage et covoiturage, par exemple, vous pourrez alors :
Notez aussi que la car policy, ou catalogue de véhicules, sera moins complexe à réaliser puisque les choix seront centralisés. Effectivement, ce ne seront plus vos équipes qui prendront les décisions, mais vous seul.
Avec une plus faible diversité de modèles, la gestion de votre parc pourra ainsi être maximisée selon son Total Cost of Ownership. N’hésitez pas à prendre connaissance de notre article relatant les différences entre le TCO et le TCM.
Avec le développement massif de l’autopartage, c’est toute la structure, et même le management exécutif, qui doit être retravaillé. Une bonne préparation est ainsi nécessaire. Mais concrètement, comment s’assurer de la réussite d’une solution d’autopartage ?
Posez-vous d’abord les questions suivantes : la société embauche-t-elle suffisamment de salariés pour que l’autopartage de voitures soit rentable à long terme ? Le travail des collaborateurs s’accorde-t-il à une utilisation ponctuelle des véhicules ? Les équipes disposent-elles déjà de moyens de déplacement en accord avec leurs besoins (bus, trains, métros…) ?
Tout ceci doit être préalablement réfléchi avant d’instaurer un système d’autopartage. Et pour cause, comme tout nouveau fonctionnement, la réussite de cette nouvelle offre de mobilité repose sur de multiples paramètres !
Afin de garantir une organisation efficace, il sera utile de prévoir des emplacements destinés à l’accueil du pool de véhicules. Sur place, chacune des voitures fera l’objet d’un contrôle minutieux pour fournir un service de qualité aux conducteurs qui se succèdent.
De ce fait, un entretien régulier doit être assuré, accompagné des pleins de carburant ou des recharges électriques. Un nombre suffisant de véhicules sera aussi calculé afin de ne jamais se retrouver en pénurie, particulièrement lors des heures pleines.
Un système de réservation clair et intuitif doit être réfléchi pour assurer le suivi des véhicules et leur bonne affectation et utilisation. Via une application ou en direct, les salariés pourront alors déterminer la durée et les plages horaires sur lesquelles ils souhaitent emprunter un véhicule.
Muni d’un pass professionnel, par exemple, ils récupèreront ensuite la voiture réservée et vous remettront les clés en main propre à leur retour. Attention : veillez bien à ce que chaque déplacement soit conforme au programme prédéfini. Consultez les meilleurs logiciels de gestion de flotte automobile pour vous y aider !
Pour vos salariés, passer à un service professionnel d’autopartage peut engendrer de la frustration. En effet, ils perdront pour certains l’exclusivité d’une voiture.
Il est ainsi conseillé d’opter pour des véhicules qui plaisent au plus grand monde pour recueillir un large consensus : modèles, équipements, accessoires, motorisations… De plus, à chaque nouvelle utilisation, les demandeurs devront toujours bénéficier d’un véhicule disponible et prêt à l’emploi.
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